Ecrits personnels

Clara Duarte-Pereira

l'amour

I

L'amour véritable

Je l'aimais, j'aimais l'homme que j'avais à mes côtés pendant deux longues années et même un peu plus. L'homme que je pensais connaître c'est avéré être une toute autre personne, celui que je connaissais était aimant, attentionné et surtout fidèle c'était de cet homme là que j'étais tombée amoureuse, mais comme dit ce fameux proverbe :

"les apparences sont trompeuses"

Et pour le coup, son apparence d'ange c'est avéré être une apparence de démon, de menteur et de trompeur.

C'était un homme qui aimait plaire et qui n'arrivait pas à se contenter d'une seule et unique femme et pourtant qu'est ce que je l'aimais cet homme, il était tout à mes yeux et la chute fut si brutale qu'il m'aurra fallu presque un an pour me rendre compte de qui cet homme était en réalité.

En aucun cas je blâme la personne qu'il est, car une part de moi continuera de l'aimer malgré tout, c'est ce qu'on appelle :

"le premier amour véritable"

Celui qui vous rends aveugle à souhait qui vous cache toutes les atrocités de cette personne par l'unique fait de votre amour pour celle-ci et c'est ce qui c'est passé pour ma part.

Je pense que ce texte sera l'un de mes plus longs textes jamais écrits pour qui que ce soit ce qui est un drôle de paradoxe quand on siat que tu étais la personne qui me faisait souffrir et rire à la fois.

Cet homme était l'homme de ma vie pour moi, ou du moins c'est ce que je pensais, je nous voyaient dans l'avenir, voyager, avoir un appartement ensemble et toutes ces choses que l'on imagine quand on a 20 ans et qu'on est follement amoureux de quelqu'un.

Il m'avait fait croire monts et merveilles, promis des tonnes de choses et la plus folle était celle de me demander en fiançailles, il me l'avait promis un soir d'été, allonger l'un contre l'autre dans son lit à regarder le plafond et à parler de tout et de rien et vain la discussion, cette discussion où l'on s'étaient projetés et ou il m'avait promis cette chose que j'attendais avec tant d'impatience, mais encore une fois cela ne se réalisera uniquement que dans mes rêves les plus profonds.

Il est difficile de tirer un trait sur l'homme que vous aimiez d'un amour si puissant que ça vous prenait dans l'entièreté de votre corps, c'était même bien plus puissant que ça, mon âme et la sienne ne faisait qu'une, nous étions inséparables sur tous les points.

Tirer un trait sur cette être, c'était comme si je tirais un trait sur ma propre personne, mais avec du recul et surtout en réalisant son infidélité, mon âme se détacha de la sienne et elle era seule dans les tréfonds de ce monde, en espérant ne plus souffrir de cette brisure irréparable.

On dit que le temps répare toute les blessures, moi je dis qu'il les adoucient, il est impossible de réparer une blessure qui consume autant une personne, qui fait souffrir une personne jusque dans ses tribes.

Puis on commence à ressentir ces sentiments avec quelqu'un d'autre, on commence à sourire pour d'autres mots, on se rend compte que c'est bien réel, qu'on change de cap. Alors on panique à l'idée qu'on puisse enfin oublier ce qui nous a détruit, car oui, il faut l'accepter ça aussi, d'arrêter de souffrir, ça ne sa fait pas comme ça.

Alors, tu saisis cette chance, cette opportunité d'être aimé à nouveau et d'aimer à nouveau, tu as certainement peur d'être blessé, brisé, laissé mais c'est pas grave car tu aimes à nouveau, tu réalise que tu es capable d'aimer encore.

Par ailleurs, tu espères que cette personne soit différente qu'elle ne te laissera pas et qu'elle sera là pour toi, donc tu ne te prive plus de vivre, tu ne te prive plus d'aimer.

Et c'est seulement après ça, après avoir découvert que j'étais capable d'aimer à nouveau et de me laisser être aimée, que je réalisa que mes sentiments pour toi n'étais plus, oui une partie de moi ne t'oubliera pas car tu m'as fais grandir, et surtout tu m'as montré ce que je voulais et ce que je ne voulais pas en amour, alors dans un sens je devrais te remercier et non te mépriser.

-Alors, merci à toi de m'avoir brisé.

le passé

II

Un mirage du passé

Après avoir raccompagné Alyssa au campus j’avais l’esprit retourné , comme avec elle…celle qui avait fait que ma relation avec mon frère se dégrade , sauf que Alyssa , elle est différente d ' Isabelle… Isabelle était la femme qui m’a séparé de mon frère ou qui a plutôt dégradé notre relation à un point inimaginable aujourd’hui mon frère me déteste au plus haut point en partant des enfers jusqu’aux cieux en passant par la Terre.

Mon frère et moi étions amoureux d’Isabelle c’était une terrienne ravissante , le teint blanc rosée , les yeux d’un vert émeraude et les cheveux aussi noir que les plumes d’un corbeau. Elle était unique en son genre aucune femme ne lui arrivait à la cheville , Isabelle était le genre de femme qui ne se laisse pas marcher dessus ce genre de femme qui paraît froide en apparence mais qui quand on la connaît est tout simplement une femme qui a besoin de tendresse et d’amour.

Isabelle et moi vécurent ensemble au grand malheur de mon frère pendant dix longues années , elle aimait l’art autant que je l’aimais c'est-à-dire… beaucoup trop , quand on est une personne comme moi qui aime de toute son âme vous savez le résultat que cela donne quand la personne nous quitte soudainement…Isabelle est morte d’un arrêt cardiaque à l’âge de 32 ans , elle avait encore toute la vie devant elle , mais la vie ne lui a pas accorder assez de temps pour vivre. Alyssa , elle est le parfait mélange d’Isabelle pour son caractère et d’un ange pour son apparence si sublime et si unique , c’est une femme très intelligente qui comprends le monde qui l’entoure sans réellement le comprendre.

Elle est passionnée par ce qu’elle entreprend même beaucoup trop pour un si petit bout de jeune femme , Alyssa est spécialisée dans le moindre de ses gestes. Elle a vécu une épreuve qui lui a forgée une sorte de bouclier autour d’elle pour que rien ne puisse l’atteindre elle a cette aspect de femme forte , alors que si l’on creuse bien on y trouve un bout de jeune femme fragile et douce.

Au contraire d’Isabelle , elle ne cherche pas à attirer l’attention sur elle , Alyssa préfère ne pas être remarquer mais ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’a regarde tout les jours à chacun de mes cours mon regard ne peut s’empêcher de la regarder et de la détaillée en passant de ses sourcils qui se fronce quand elle réfléchit jusqu’à sa manie de bouger sa jambe droite pendant qu’elle est assise peu importe si elle dessine , étudie ou encore joue du piano elle est obligée de bouger sa jambe droite. C’est ça que j’aime chez elle , tous ces petits détails qui paraissent insignifiants mais qui pour moi sont tout ce qui l’a compose , tous ces petits détails complète sa personne et donne la Alyssa qui m’hypnotise à chaque regard de sa part.

Alyssa est une fille simple , elle n’est pas superficielle , elle est naturelle , elle est elle-même c’est ce qui rend la rend encore plus unique et différente des autres à mes yeux. Elle me rend vulnérable et si je la laisse faire , si je la laisse entrer dans mon monde et même dans ma vie je pourrait la blesser et au grand jamais je ne voudrais la blessée , elle est si pur et si sublime elle ne mérite pas ça mais malheureusement je ne peux m’en séparer elle m’est devenu vital je ne peux m’en séparer la simple idée de la perdre me met hors de moi je ne peux plus m’imaginer un monde sans elle car elle est devenue mon monde , mon oxygène celle qui me fait rester en vie.

Alyssa qu’est ce que tu me fais…je ne suis plus le même depuis toi et cela m’effraie et me rend terriblement vulnérable et faible…encore plus qu’Isabelle.

souvenir

III

Je me souviens encore de son prénom

C’était un soir d’automne comme les autres, j’étais là, au bord de la piscine à observer cet homme, un homme comme tous les autres, et pourtant si différent à mes yeux. Notre rencontre fut si banale, et pourtant je m’en rappelle comme si c’était hier, un homme charmeur qui aimait séduire, que ce soit la gente féminine ou masculine, il aimait plaire, je me souviens de ses manies à constamment remettre sa cravate ou son noeud papillon à sa place, un petit millimètre de trop vers la gauche ou la droite le frustrait, le pire moment de frustration qu’il ait eu je pense que c’est le fameux jour de notre rencontre.

C’était un mercredi après-midi, les oiseaux chantaient, les animaux étaient de sortis dans les rues, et moi j’étais là, je me tenais dans ma boutique de vêtements chics, quand je l’aperçu au loin, un café à la main et dans l’autre sa malette de travail en cuir couleur rouille, il paraissait tranquille mais en réalité c’était tout le contraire. Lorsqu’il entra dans la boutique, son visage était tiré à quatre épingles, son regard dégageait de l’énervement et ses propos accompagnaient ce dernier, un appel d’une grosse firme jouait avec ses nerfs et sa patience, cette dernière c’était décidée à ne plus vouloir fusionner avec l’entreprise dans laquelle il travaillait, et malheureusement pour lui son patron lui avait donné une date limite pour réussir à les convaincre de continuer la fusion.

“Mr. Andrew, I assure you you won’t regret it, believe me, our company is the best in the country. You can’t go wrong”.disa-t-il à son téléphone.

Je n’arriva pas à distinguer ce que son correspondant lui répondit mais une vague de soulagement vint embellir son visage, et c’est à ce moment-ci que nos regards se croisa et c’est à ce moment exact que je vis son regard bleu azur si envoutant et déstabilisant que je ne sut quoi lui dire lorsqu’il s’approcha vers moi.

"Bonjour je souhaiterais le meilleur costume de votre boutique avec une cravate assorti."me disa-t-il.

Mais moi, je resta là, bouche bée et ébahie par son regard, ayant perdu tous mes mots et ne sachant plus quoi faire ou bien même dire, c’est là qu’il commença à s’agacer.

Monsieur je vous ai demandé quelque chose, personne n'est capable de se rendre utile aujourd’hui je dois tout faire moi-même ! Et bien si c’est comme ça je m’en vais ! dis-t-il en claquant la porte de ma boutique.

Pris de panique, mes pieds se dirigea de leur propre volonté vers la porte de la boutique et soudainement je retrouva l’usage de ma voix.

"Monsieur, revenez ! Je me prie de m’excuser j’ai été pris de court mais laissez moi vous montrer le plus beau costume de ma boutique, celui que j’ai moi-même conçu !"

A ses mots le jeune homme se retourna et se laissa séduire par ma proposition, il entra dans la boutique une seconde fois en étant plus calme et plus serein et il passa l’après-midi à essayer des costumes et des cravates puis il se laissa tenter par un costume, assez classique je dirais, il était fait de cachemire étant teinté d’un bleu marine accompagné d’une cravate qui cassa la simplicité du costume car cette dernière était de couleur rouge étincellant, et c’est comme cela que je le reconnaissait quand il venait dans la boutique, car à chacune de ses visites il portait cette fameuse cravate.

Chaque mercredi, il se rendait à la boutique, sachant exactement à quelle heure il pouvait m’y retrouvait et à quelle heure débuta ma pause, on passa d’abord les 45 minutes de ma pause ensemble à se promener dans les rues, puis à manger et à en apprendre l’un sur l’autre, je connaissa enfin son prénom Timothée, son prénom resta gravé dans ma tête pendant des mois et même des années et encore aujourd’hui son prénom est gravé dans ma mémoire.

Puis, le mercredi 19 octobre, Timothée n’est pas venu à la boutique et les mercredis suivants non-plus, pendant des mois et des mois je n’eu aucune nouvelle de sa part, je me rendis devant son travail, je resta jusqu’à la fermeture des bureaux mais rien ne se passa, je n’aperçu que des visages d’inconnus, parmis cette foule de monde je ne parvins jamais à apercevoir son regard perçant et ses cheveux blond vénitien, c’est à partir de ce jour où je me suis mis à penser qu’il avait surement dû partir en voyage d’affaire ou tout simplement qu’il n’avait peut-être jamais réellement exister et que je m’imaginais un Timothée parfait.

Chaque soirs de la semaine je me rendais devant ses bureaux en espérant le voir apparaître, je l’imaginais déjà se diriger vers moi un grand sourire dessiné sur les lèvres et les bras grands ouverts pour que je puisse m’y glisser et enfin être là ou je devais me trouver, près de lui et nulle part autre ; mais à mon grand regret je ne le vis jamais sortir des bureaux même après plusieurs mois à m’y rendre il n’était jamais apparu parmis cette foule de fonctionnaires.

C’était le seizième mercredi aujourd’hui que je n’avais plus de signe de vie de Timothée, je ne l’ai jamais revu à la boutique ni au restaurant où l’on allaient à l’heure de ma pause pour manger, ni sur ce banc devant le lac que l’on aimait contempler sans émettre un seul bruit ; Je me suis rendu pendant plus de trois mois devant son bureaux chaque soirs à l’heure à laquelle il m’avait dit qu’il finissait mais en vain, même à ce lieu primordial à sa vie jamais je ne l'aperçut une seule fois pendant ses trois mois, un soir habité par la curiosité qui gagnait de plus en plus de terrain dans mon esprit je décida de prendre mon téléphone et par le moyen le plus fascinant et simple de notre époque je me rendis sur les réseaux sociaux, sur la totalité des réseaux sociaux pour trouver les réponses à mes questions qui me hantait depuis plus de trois mois, pourquoi ne donne t-il plus de nouvelles ?

"Lui est-il arrivé quelque chose de grave ? Ou pire encore, a-t-il trouvé quelqu’un pour me remplacer, non ça ne pouvait pas être possible, il n’aurait jamais pu me remplacer ? L’aurait-il fait ? M’aurait-il blessé sans penser aux conséquences ? Je ne peux y croire, c’est impossible, mon Timothée n’aurait jamais fait ça, mais est-il réellement mon Timothée ?"

En le cherchant sur les réseaux sociaux, je découvris maintes et maintes choses et surtout énormément de profil portant son nom, il n’était donc pas aussi unique que je me l’imaginais, beaucoup d’hommes portaient le même prénom que mon bien aimé, c’était inimaginable, comment peut-il y avoir plus de 5000 personnes ayant le même prénom que mon tendre et bien aimé, je ne peux le concevoir. En passant plus de trois heures de mon temps à regarder presque la totalité des profils présent sur un seul des réseaux sociaux je ne trouva pas de réponses à mes questions insoutenables, je ne voulut abandonner alors je me dirigea sur le second réseaux social sur mon téléphone et je fis la même chose que pour le premier, cette fois-ci il y avait beaucoup moins de profils environ 2000 profils ce qui me donna de l’espoir, peut-être que j’allais enfin trouver mon Timothée je l'espérais de tout mon coeur, ce coeur qui ne battait que pour lui, et c’est là que je le vis, son profil, son visage, ses si beaux yeux azur et son sourire si éblouissant, mais ce que je vis me glaça le sang, il était là aux bras d’une femme qui l’embrassa sur la joue ; ce n’était pas possible, il ne pouvait pas être attiré par les femmes, pas après tout ce que l’on a partagé, je ne peux pas le croire !

Il faut que j'arrête les torrents fades coulant sur mes joues car ils n’inverseront pas les jours maussades que subit notre nous s’il y a eu un nous à un moment dans ton cœur, car tu disais avoir le courage, mais je ne vois que sur ton visage mensonges et manipulations. Non, tu ne m’as pas trompé, tu t’es toi-même trompé, tu as trahi ta fierté…tu ne m’as pas trompé moi, c’est moi qui me suis trompé, sur Toi, mais je ne peux pas le croire, tu ne peux pas être attiré par cette femme, tout cela n’est qu’une mascarade ! Tu savais que j’allais le voir alors tu as fais ça pour me rendre jaloux n’est-ce pas ? Je commence à devenir fou, je te parle à travers un téléphone au lieu de t’envoyer directement un message pour te demander si ce que mes yeux ont vu sur ton profil est réel ou si j'hallucine.

Je me sens défaillir, je deviens fou, je ne veux pas y croire, non pas toi, pas mon bien aimé, tu ne peux être avec cette femme ta place se trouve à mes côtés et non aux siens ! Je suffoque il me faut de l’air, j’ai besoin de respirer, je me dirigeais sur mon balcon et c’est à ce moment-là que toute ma vie bascula je ne sentais plus mes jambes, elles se dirigèrent automatiquement sur le balcon et me firent chuter de ce dernier, je n’eus le temps de me rattraprer que je succomba dans cette piscine d’une eau si clair et si limpide, cette dernière se transforma en une couleur rouge flamboyante, je chuta du troisième étage et mourut sur le coup, le choc fis si brutal que je ne pus résister à ce dernier, et les dernières pensées qui me vinrent à l’esprit fut son prénom celui de mon bien aimé, Timothée.

Certaines âmes se rencontrent parfois au mauvais moment, lorsque l’une d’entre elles n’est pas encore prête à assumer sa vérité ou n’est pas prête à l’engagement et donc à aimer l’autre âme. Les coeurs sont alors lourds, parfois emprisonnés fermement dans leurs doutes et leurs peines, lorsque l’espoir n’est plus, le ciel tombe sur la tête de l’âme éprise éperdument par l’amour qui le consume, cela ne disparaît alors jamais, l’amour persiste, des jours, des semaines, des mois et parfois même des années. Puis vint un jour où l’idylle bascule, ou la réalité vient frapper l’âme éprise et la chute devient alors brutale, la deuxième âme ne comprends guère le comportement de l’âme éprise et surgit alors de l’incompréhension, des doutes, des nons-dits, des illusions, et de l’espoir, puis soudainement, sans crier gare, la deuxième âme s’en va ne pouvant supporter le comportement de l’âme éprise, il la laisse la dans l’incompréhension de ses sentiments et de ses doutes, alors un soir consumer par la folie, l’heure sonna pour l’âme éprise et c’est ici que l'entièreté de son univers basculera à jamais.

espoir

IV

Je voudrais...

Je voudrais écrire une phrase pour décrire tous les gens de la société ou même de la planète entière. De ceux qui ont compris la société à ceux qui ne l'acceptent pas. De ceux qui ne se sentent pas à leur place à ceux qui ont créé leur propre dynastie.

J'aurais aimée avoir assez de talent pour avoir la possibilité de tout vous expliquez et de vous montrez le monde tel que je le perçois. Pouvoir vous montrez à quel point les personnes peuvent être magnifiques et à quel point elles peuvent être laides.Vous montrez à quel point ils peuvent avoir tord, mais malgré ça avoir la chance de dire ce qu'ils pensent.

Vous comprenez maintenant ? J'aurais voulu écrire le monde entier, présenter ce qu'il le compose, les religions, les pays et tant d'autres choses. Dialoguer avec Molière, annoter la politique et débattre sur cette dernière tout en la critiquant.

J'aurais voulu tant de choses, connaître tout ce qui est possible de connaître, voir la voie lactée d'ailleurs que du balcon de ma chambre.

Après tout je ne suis qu'une enfant, qui regarde le monde du haut de sa maison, alors je vous prie de me pardonner pour mon vocabulaire, je n'ai pas trouvée les mots que vous méritiez.

Alors plutôt que de chercher les bons mots, je vais tout simplement vous laisser avec ma perception de la vie en général, j'ai pas envie de vous écrire de beau et longs poèmes car ce serait vous mentir, croyez-moi quand je vous dis que malgré tout la vie est belle, mais elle est par ailleurs nuancée.

La vie est un combat, il faut être prêt à se battre même si tu as le coeur en lambeaux et que tu essaie tant bien que mal de le réparer. Ne cours après personne car la vie c'est pas un film ni une comédie romantique. N'écoute surtout pas ton coeur, surtout s'il agonise, il va te murmurer des dingueries.

Construit un rêve que tu pourras suivre, mais ne bâtis surtout pas tes rêves autour d'une personne parce que le jour ou elle s'en ira, tu verras flou. Sache que le silence est d'or et que celui qui ne comprend pas ton silence, ne te comprendra jamais. Ne parle pas trop de tes peines aux autres, sois sympa mais pas trop, ne mendie pas l'amour et l'attention des autres, tu t'en fou de te retrouver seul(e), faut pas que la solitude te fasse peur, elle au moins est raisonnable.

Tu peux t'amuser mais t'as pas besoin de drogue ou d'alcool pour ça, il te suffit d'avoir un bon ami et tu verras, la douleur est plus supportable à deux.

Prends soin de tes proches parce qu'au final, il n'y aura qu'eux pour pleurer auprès de ta tombe.