×
  • Le régionalisme

    Le régionalisme développe un regard vers le passé, une réinterprétation des styles historiques de l'architecture de Séville. Le mudéjar devient néo-mudéjar, le baroque devient néo-baroque, le gothique devient néo-gothique... la Séville historique grandit avec la Séville historiciste. Et tout cela grâce au talent d'un petit groupe d'architectes, parmi lesquels se distingue la figure d'Aníbal González.

  • Architecture mudéjare

    L'architecture mudéjare est une architecture qui s'est développée dans la péninsule ibérique du XIIe siècle au XVIe siècle dans les régions conquises par les royaumes chrétiens et qui résulte de l'application aux édifices chrétiens (ou juifs) d'influences, de techniques et de matériaux musulmans

  • Metropol Parasol

    On accède à la Séville romaine à partir d’un des bâtiments les plus modernes de la ville : le Metropol Parasol. L’Antiquarium, le gisement archéologique le plus important de cette période, conserve des mosaïques de la Maison Romaine, la Maison de la Nymphe et la Maison de Bacchus, ainsi qu’une fresque de trois mètres dans la Cour de l’Océan et l’Hospitium des Dauphins. Des vestiges de l´époque arabo-andalouse sont également présents dans cet espace, qui conserve une maison islamique almohade.

  • Les Archives générales

    Les Archives générales des Indes sont nées en 1785 de la volonté de Charles III d'Espagne de centraliser en un lieu unique les documents relatifs aux colonies espagnoles, sans doute avec l'arrière-pensée de favoriser l'écriture d'une histoire de la colonisation qui contredise la légende noire répandue à ce sujet dans plusieurs pays européens, par exemple en France avec l'Histoire des deux Indes de l'abbé Raynal. Ces fonds étaient auparavant répartis entre les Archives générales de Simancas, proches de la saturation, Cadix et Séville. José de Galvez y Gallardo, secrétaire des Indes, fut chargé de mener à bien le projet, avec l'aide de l'historien Juan Bautista Muñoz, premier cosmographe des Indes.